Rappel du premier message :

CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : Privé mais négociable si vous êtes vraiment très gentils
- Tour de jeu : Dans l'ordre
- Délai maximum d'attente de réponse : 2 jour
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : 3
- Autre : Rien de spécial

C'est Biquette E425-7. A moins qu'elles échangent leurs boucles d'oreille. Biquette E425-7 elle a fait un bêlement bizarre. L'est loin le temps ou je les confondait avec des moutons. Maintenant, j'entends quand c'est normal et quand ça l'est pas. Là, je voulais la traire, elle avait grimpé sur un poteau - les biquettes, ça grimpe n'importe où  - et elle a fait son bruit de ça va pas. J'crois qu'elle a un sabot enflé ou quelque chose comme ça. J'aime pas ça. J'ai déjà perdu des Biquettes et à chaque fois, ça fait mal. J'garde leurs boucles d'oreille. Je sais pas ce que je ferais quand j'aurais plus QUE des Biquettes sans boucle d'oreilles.

Alors ouais ça se sent mais je suis inquiet. Sauf que je peux pas faire grand chose. J'suis grimpé sur le toit et en haut de l'antenne télé qui sert un peu qu'à ça, j'ai accroché une nappe moche a carreaux jaunes et bleus. Ca veut dire "Hey véto que j'aime, si t'es dans le coin et que tu vois mon message, j'ai du boulot pour toi." Et puis je suis descendu de mon toit et j'ai continué ma vie parce que le monde ne s'arrête pas pour une Biquette malade. Même quand c'est E425-7 qui, ne le dites pas aux autres, est un peu ma préférée.

"Aimer beaucoup. Toi en avoir d'autre ?" Il lui semble en avoir deviné plus haut et si ça peut la convaincre d'enlever le haut... il suit une plume du bout du doigt pour tourner sur les bois du cerf, dans le creux du coude, s'approchant plus d'elle.

Elle recule mais enlève son T-shirt. Daniel est presque déçu de voir d'autres vêtements en dessous. Il remet son doigt sur le bras, suit une volute jusqu'à la chouette ou au hibou - il ne sait pas la différence - puis le loup dont il caresse le poil, puis un monstre sur l'omoplate. Il descend, tente d'écarter un peu le tissu pour voir le monstre, la tête toute proche de sa peau, son souffle réchauffant probablement l'épiderme à nu de la jeune femme. "Tatouage avoir histoire ? "

"Tatouages un par un ou grand tatouage avec tout d'un coup ?" Il a relevé la tête, laissant ses lèvres au niveau de son cou, qui n'a pas de tatouages mais peu importe, ils n'en sont plus là. La main à lâché le T-shirt, remontant l'omoplate puis le bras qu'il caresse à nouveau.

" Un par un " Qu'elle murmure toujours tranquillement, sans bouger pour sa part, curieuse de voir ses prochains gestes. " Trop douloureux tout d'un coup... " Leurs lèvres ne sont plus très éloignées. Et elle plonge son regard dans le sien. Elle se demande s'il a des tatouages. Elle pense que non... Mais elle a pas vraiment envie de poser la question en fait. Plus il lui caresse le bras comme ça, plus elle a envie de voir par elle-même.

Il l'embrasse. Sa main se met à plat sur la peau, ses doigts sous le t-shirt jouant au niveau du...loup il croit. Il s'en fiche.

Il se rapproche. Le feu qui claque dans la cheminée ne les réchauffe que d'un côté tandis que l'autre est froid. Le contraste attise encore son envie d'elle. Il l'embrasse encore, l'allonge doucement, passe ses mains sous les couches de tissu. Trop de tissu pour caresser une peau qu'il ne voit pas. Il ne veut pas aller trop vite. Cela fait trop longtemps qu'il n'a pas eu l'occasion d'effeuiller une jeune femme. Il n'a pas la sauvagerie du monde de maintenant. Pour l'amour, il est resté à avant. Pour le moment.

Elle se retrouve le dos dans la fourrure d'ours et Daniel au dessus d'elle. Son corps se positionne en dessous de lui, pour entremêler ses jambes aux siennes et laisser à ses bras libre à son corps. Ses propres mains viennent parcourir les muscles du dos de celui qui la surplombe. Et elle l'embrasse, aussi, encore. Le feu réchauffe mais autre chose aussi. C'est doux, c'est pas violent, pas sauvage. Elle ne veut pas aller trop vite non plus... mais y a une certaine impatience latente. Parce que ça fait longtemps.

Ca fait comme dans les films. Il se met torse nu, il la met torse nu. Il la découvre des lèvres, l'embrassant partout où ses mains ne passent pas, la caressant partout où il n'a pas ses lèvres. Mais qu'en haut, en bas, leurs jambes se mêlent seulement. Il sent son impatience, miroir de la sienne et pourtant, il ne veut pas d'un feu de paille. Il ne sait pas quand il aura de nouveau une chance, avec Laila ou non. Il veut se souvenir de cette nuit.

C'est un moment trop agréable et trop important pour être égoïste. Pour ne pas partager le plaisir. Comme pour le laisser s'enflammer trop vite. Elle explore, son corps, ses goûts et les possibilités avec une impatience qui se transforme en fougue retenue pour faire durer le moment jusqu'à ce qu'il arrive à sa fin dans une chaleur qui n'a rien à envier à celle du feu qui crépite toujours doucement dans la cheminée lui.

Son absence fait comme un froid que la bûche peine à combler. Heureusement, elle revient rapidement et il l'enlace à nouveau, tendre maintenant que la passion des ébats s'est calmée. "Fatigué pas être mot. Pas vouloir dormir. Mais..détendu ? Bien." Il lui embrasse le front. "Toi, moi, agréable. Différent. Pas tous le jour. Recommencer, peut-être une fois plus tard ?"

"Moi pas trop quitter clôture. Aller au le camp parfois pour échanger choses et ville aussi quand gens dans ville mais biquette et fromage et...le reste, prendre temps puis moi pas savoir bien chasser tout ça. Toi venir quand toi vouloir. Maison toujours ouverte pour toi, cheminée aussi. Biquettes bien aimer toi." Il l'embrasse. Pas que les biquettes.

Elle l'embrasse en retour, un moment, avant de murmurer avec un sourire un peu amusé. " Aller camp et ville aussi parfois. Venir voir biquette plus souvent aussi maintenant... " Pas que pour les biquettes. Mais pas que pour ce qu'ils viennent de faire non plus. Mais elle n'a toujours par l'air fatiguée. Elle revient se coller un peu plus à lui et recommencer à l'embrasser.

Les paroles c'est bien beau mais si elle continue à l'embrasser comme ça, ils vont repartir pour un second tour et personne n'en est plus conscient que Daniel qui se place à nouveau au dessus d'elle, rendant baisers pour baisers. Après tout, tant qu'il s'occupe de la traite à l'aube, rien ne l'empêche de faire la sieste tout à l'heure.

Elle se retrouve donc à nouveau le dos dans la peau d'ours, avec le beau métisse au dessus d'elle, qui l'embrasse et l'embrasse encore. Alors... Ils repartiront pour un tour... Sous la chaleur de la nouvelle bûche dans le feu, jusqu'à ce que le sommeil les rattrape sans doute à un moment donné. Ou que l'aube appelle le fermier à la traite de ses braves chèvres.