CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : privé
- Autre : Suite de ce RP

5h45: Je courus jusqu'à la chambre d'Orine. Ouvrant sa porte, l'envoyant claquer contre le mur de sa chambre, je sautais sur son lit, toute joyeuse. Allez debout Orine, c'est aujourd'hui que tu m'emmène, allez, dépêche toi de te préparer. Je suis si excitée. Je tirais dans mon excitation sa couette pour qu'elle se lève avant d'aller ouvrir ses volets pour laisser entrer la lumière. Cela fait, je poussais des petits cris de joie avant de m'enfuir dans la cuisine préparer notre petit déjeuner pour qu'on parte le plus vite possible. Je ne savais pas d'où je tirais toute cette force, ayant mal dormi cette nuit, excité à l'idée de sortir de l'institut. Je revins bientôt pour la tirer du lit si besoin, la suppliant de venir prendre son petit déjeuner

Je la regardais de mon air le plus innocent possible, ne comprenant pas en quoi j'avais fait une bétise. Bah quoi, si on est prête plus tôt, on pourra partir plus tôt. Et puis j'arrivais plus à dormir, c'est pas de ma faute. Ma lèvre inférieure commença à trembler car je retenais tant bien que mal mes larmes face à la désapprobation évidente d'Orine. Tu es fachée ? Pourtant je pensais bien faire moi

Je vins me blottir contre elle pour lui faire un calin et me faire pardonner du réveil très matinale. Je l'écoutais aussi tout en hochant la tête, comprenant mon erreur. Maintenant on fais quoi du coup vu qu'on va être en avance, même en faisant tout ce que tu as dis. Je la regardais, curieuse de savoir.

La fatigue faisait comme une chape de plomb sur mes paupières et je commençais déjà à me rendormir, trop fatiguée par ces derniers jours. "Se reposer, juste encore un peu..." Je tachais de sourire en masquant un bâillement, et me laisser aller sur le lit accueillant. C'est que ces derniers jours avaient été difficile, fort en émotions et entre le travail, les cours et ptit chat, c'était une vie superbe, mais fatigante aussi.

Je la regardais se laisser tomber en arrière sur son lit, l'air fatiguée. Une petite pointe de regrets s'ajouta à ma culpabilité déjà présente et je vins me lover contre elle tel le chat que j'était, baillant à m'en décrocher les machoires avant de faire une petite toilette et m'endormir à ses côtés

Je la reposais doucement dans le lit pour aller lui préparer un chocolat chaud, espérant que l'odeur la réveillerait sans que j'ai à la bousculer. Je préparer aussi le sac pour le nécessaire au cas où tout partirait en vrille. Pansement et compagnie. Et je déjeunais finalement en l'observant, souriante.

Je me réveillais à l'odeur du chocolat chaud et sauta du lit, au radars pour en trouver la source.
J AI FAIM ! Oui ce n'était pas polie mais c'était la vérité, que voulez vous. Dès que j'eu trouver tout ce qu'il fallait, je commençais à m'empiffrer pour faire de la plein pour la journée de découverte.

Je souris face à la pêche qu'elle avait et nettoyé derrière elle ainsi que son visage lorsqu'elle eut finit. "Un peu plus propre la prochaine fois petit chat... " Et Je l'aidais à enfiler des vêtements chauds. J'enfilais moi même ma veste, longue et coupe vent, puis enfilait sur l'épaule gauche la besace bien remplie. "On décolle ?"

Je sautillais partout à la mention du décollage, trépignant déjà à la porte. Et je pense que tout le monde n'attendais que ça vu que j'avais déjà cassé en à peine quelques minutes un miroir et une vitrine. Sans compter les brulures du au pancake quand j'était passé dans la cuisine. Mais cela augurait rien de bon car on ne savais pas ce qui allait se passer à l'extérieur.

J'ouvrais la porte et l'air frais s'engouffra aussitôt, pourtant, nous partions ainsi. Je ne me faisais pas de soucis car je refusais d'enfermer Lisa dans une bulle de verre (qu'elle serait capable de briser) uniquement pour la protéger et protéger des chose d'un don qu'il lui fallait seulement apprendre à maîtriser, je lui rappeler ce que l'on avait appris, et lui indiqua qu'on passera au restaurant de ma tante. "Tu vas l'adorer ! Et ne t'inquiète pas, elle sait pour ton don, et elle a déjà vu passer une maladroite.