Presente toi banane flambee
Prénom : Florian
Age : 32 ans
Activités : Réception hôtelière
Centres d'intérêts : Lire, écrire, la musique pop-rock, le sport (vélo, badminton), l’humour
Où j'ai trouvé le forum : Google est mon ami ^^
Un petit mot pour Nano. ? : Concept original et assez séduisant, je dois dire, qui permet notamment de limiter les descriptions à n’en plus finir tout en centrant le RP sur l’action et l’interaction… eh bien, c’est exactement ce que je recherche !
Activité à Prévoir : Une fois par semaine minimum... mais sans doute plus, en fait XD
Bonus : Bien content d’être de retour parmi vous, bande de Nanites !



Aldo Biscotto
○ Prénom et Nom : Aldo Biscotto
○ Age : 28 ans
○ Nationalité : Italien
○ Métier avant l'apocalypse : Étudiant en neurochirurgie
○ Lieu de vie : Aventurier solitaire sans domicile fixe
○ Occupation : Dézombizateur à plein temps
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Grand (2m15 les bras levés).
- T’as des signes particuliers ? Mon charme sauvage et ma grande classe.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire :

Interview avec un zombie intello
- Tu parles norvégien, c'bon ? Et anglais ?
Je parle italien, norvégien et anglais.
- Si tu te faisais mordre, tu le dirais aux autres ?
Histoire (courte)
Bref, Giulia (ma mère) ne parvenait pas à joindre les deux bouts avec son petit mi-temps dans une Italie en pleine crise économique, et elle décida alors de se rendre à Oslo, capitale de la réussite… enfin, à l’époque, hein, parce que maintenant… La Norvège fut notre Eldorado : je pus enfin aller dans une école décente tandis que ma mère décrocha un poste de secrétaire. Étant blagueur et facile à vivre de nature, je m’intégrai rapidement dans ce nouveau pays, dont j’appris la langue en moins d’un an. Il n’y a pas à dire… on apprend bien plus vite une langue sur place que dans des bouquins ou à l’école. Je me fis beaucoup d’amis, tout au long de mon cursus en médecine. Je me spécialisai d’ailleurs en neurochirurgie… sans savoir combien mes connaissances en la matière allaient m’être utiles par la suite. Au départ, je m’étais tourné vers la médecine dans l’espoir d’aider mon prochain. M’attachant également à prendre soin de mon corps, je devins un mordu (sans mauvais jeu de mots) de tir à la carabine tout en me mettant sérieusement au culturisme. J’étais aussi doué en neurochirurgie qu’au tir à la carabine, ce qui ne manqua pas d’attirer l’attention de toutes ces filles qui aiment les beaux musclés à qui tout réussit. D’ailleurs, côté filles j’avais plutôt hérité de mon père… mais passons !
Tout bascula à l’aube de mes 26 ans. Au journal télévisé, on commença à nous parler de cas de Zombies aux États-Unis. Bien au chaud… euh… au frais dans notre Norvège fort lointaine, nous ne nous sentions pas concernés par la menace. Et, à vrai dire, on avait même du mal à y croire. Toutefois, la réalité nous rattrapa, les cas de zombification se multipliant au fil des semaines… puis au fil des jours… puis au fil des heures… jusqu’à se répandre partout dans le monde… même chez nous. En à peine plus d’un an. Un truc de fou, je vous dis ! J’avais beau faire le fier devant mes amis, en vérité je n’en menais pas large. J’étais même tétanisé. Jusqu’à ce jour où… des Zombies m’encerclèrent parce que je n’avais pas fait assez attention. Ce jour où Giulia tenta l’impossible pour me sauver, leur donnant des coups pour détourner leur attention de moi. Ce jour où je regardai ma mère se sacrifier pour moi sans rien pouvoir faire tant j’étais terrifié. Ce jour-là, quelque chose changea en moi. J’avais laissé mourir la personne la plus importante à mes yeux parce que j’avais été trop faible… Plus jamais cela ne se reproduirait. Plus jamais ! Guidé tant par mon chagrin que par ma rage, je redoublai d’efforts pour me muscler, tirer juste et cerner les faiblesses de ces foutus Zombies. Et, bonne nouvelle : leur cerveau en était une belle, de faiblesse.
Après un solide entraînement à en faire rougir Rambo et l’« emprunt » d’une mitraillette qui traînait dans un coin, je me sentis enfin prêt pour riposter face à ces vermines qui transformaient impunément tous mes amis en cadavres sur pattes. Et en effet, j’étais prêt.
Je m’appelle Biscotto, Aldo Biscotto, dézombizateur. Faites appel à moi pour vos problèmes de Zombies, je les traite dans les 48 heures, aidé de ma fidèle Lolotte. J’accepte les cartes bancaires.
Malaggar
○ Prénom et Nom : Malaggar Elpragh
○ Age : 358 ans
○ Alignement : Mauvais
○ Race : Elfe noir
○ Classe : Chasseur
○ Métier : Archer (Familier : Un faucon démoniaque nommé Balzac)
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Grand (1m98).
- T’as des signes particuliers ?

Interview avec un troll à trois orteils
- Avoue. Y’a une race que t’aimes moins/plus que les autres !
Histoire (courte)
Des centaines d'années plus tard, après autant d'années de perfectionnement au tir à l'arc ainsi qu'à l'art de la survie en milieu hostile et au savoir-vivre dans l'honneur et la dignité, nous apprenions qu'une brèche s'était ouverte entre notre monde et Heavensaw. Enfin ! Nous avions tant attendu que cet improbable évènement survienne, et enfin, un leader s’était levé, s’était emparé du Miroir de Guldin et avait plongé le monde dans le chaos jusqu’à en déchirer les cieux eux-mêmes. Shinokigee avait ouvert la voie menant vers la gloire, et nous n’avions plus qu’à le suivre. Ni une ni deux, ma famille et moi, de même que bon nombre d'autres créatures des enfers, nous sommes glissés dans la brèche afin d'envahir et de conquérir Heavensaw... et de débarrasser dans la foulée le monde de ces pitoyables créatures bourrées de croyances et autres idéaux (justice, égalité, entraide, fraternité, etc.) que seuls les faibles sont capables d'inventer dans l'espoir de se faire une place dans un monde dont ils ne sont pas dignes. Notre existence et notre influence allaient enfin pouvoir s'étendre au-delà des enfers. Nous serions bientôt les maîtres du monde. Il ne pouvait s'agir que d'une question de temps tant notre puissance était grande !
Une fois la brèche franchie, nous n'avons pas eu de mal à nous imposer face à ces êtres inférieurs, ces... ces vermines. Enfin, les premières années. La grande capacité d'adaptation que l'on prête aux Terriens n'est pas totalement infondée. Ils sont juste un peu longs à la détente. Toujours est-il qu'avec le temps ils nous ont résisté de mieux en mieux... tant et si bien qu'un jour ma famille et moi nous sommes faits prendre en embuscade par une bande de guerriers humains et elfes armés jusqu'aux dents. Ils avaient l'avantage numérique, mais nous avons tout de même remporté le combat... au prix de la vie de cinq de mes frères, de deux de mes sœurs et de mes parents. Ah ! Tu te demandais peut-être d'où vient ma cicatrice ? Encore un mystère de résolu, Sherlock ! Depuis ce tragique épisode, nous redoublons de vigilance dans cette impitoyable guerre. Un jour ou l'autre, le peuple d'Heavensaw faiblira et Heavensaw sera nôtre !
Peuple d'Heavensaw, c'est Malaggar qui vous parle. Tremblez, misérables vermisseaux, tremblez tant que vous le pouvez, car la fin de votre règne est proche. Soumettez-vous à la toute-puissance du chaos ou périssez ! Le choix, mes amis, est entièrement vôtre.
Harriet
○ Prénom et Nom : Harriet Smith
○ Nom de code :
○ Age : 25 ans
○ Race : Humaine
○ Alignement : Neutre
○ Métier : Espionne
○ Pouvoir :
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ?

Interview avec Fox News
- T'as Facebook ? Twitter ? Tumblr ? T'es geek ?
Elle travaillait en matinée et en soirée… Les horaires de travail sont pénibles en restauration… mais les petits jeunes comme Harriet s’en accommodent ; et dans l'après-midi, elle faisait une sieste, puis partait faire son footing quotidien... Pendant ses jours de repos, elle sortait souvent le soir avec ses amis ; le reste du temps, comme je vous le disais, elle lisait beaucoup, écoutait de la musique…
Bref, comme je le disais, si la petite passait dans le journal de 20h, elle parlerait sûrement de la guerre et de sa soif de paix et de bien-être durable pour tous... Vous savez, toutes ces guerres stupides entre humains et mutants... Avant de l'héberger chez moi, je n'aimais pas beaucoup les mutants, ils me faisaient peur... mais la petite m'a ouvert les yeux, et j'ai désormais compris qu'ils sont avant tout humains, comme nous autres, avec leurs rêves, leurs espoirs, leurs doutes, leurs peurs... Ils ne sont pas si différents... et puis, « être différent ne devrait pas amener à des confrontations pour savoir qui est le meilleur, mais à des enrichissements mutuels et de l'entraide en vue d'évoluer ensemble dans un monde où tous ont leur place et leur importance », comme dirait la petite... Voilà ce qu'elle dirait, ma petite Harriet, si elle passait au journal de 20h...
Histoire (courte)
Harriet a été placée en pension au sein de notre établissement par ses parents de 2000 à 2007, soit de ses 11 ans à ses 18 ans. J'ai tout de suite vu à leur attitude qu'ils cherchaient moins à lui fournir une éducation de qualité qu'à se débarrasser d'elle... Je l'ai prise sous mon aile. Ça a vraiment été une élève adorable, toujours là pour rendre service... Que vous dire de plus ? Son niveau était correct sans toutefois être exceptionnel. En revanche, elle s'intéressait beaucoup aux autres ; elle se sentait naturellement proche d'eux, ce qui l'aidait à les comprendre. Harriet compte parmi les personnes en qui on peut avoir pleinement confiance ; du coup, ses camarades se confiaient facilement à elle. De plus, elle avait un talent inégalé pour apaiser les tensions dans sa classe… ce qui faisait écho à sa personnalité car, voyez-vous, Harriet est une jeune femme idéaliste qui aspire à la paix dans le monde ; c’est d’ailleurs ce qui semble la motiver le plus dans la vie. C’est vraiment quelqu’un de bien.
En revanche, Harriet est une jeune femme qui manque d'assurance ; et Dieu qu'elle est maladroite et tête en l'air ! Il fallait souvent lui répéter les mêmes choses... et elle ne regardait jamais où elle allait ; du coup, il lui est arrivé plus d'une fois de se prendre un mur ou une porte... Harriet est ce genre de personne qui a des capacités mais qui est bloquée par ses défauts... Ses camarades en profitaient parfois pour se moquer d'elle à son insu... Il faut avouer qu'Harriet est particulièrement naïve... et d’une crédulité affligeante ; ils pouvaient lui faire croire tout ce qu'ils voulaient... J'ignore ce qu'elle est devenue depuis qu'elle a quitté notre établissement, mais je lui souhaite beaucoup de bonheur... parce que c'est une personne en or et qu'elle le mérite.
Ah si, une dernière chose ! Lorsqu’elle vivait ici, Harriet a développé une passion déraisonnable pour le chocolat… sous toutes ses formes ! J’espère que cette sale manie lui est passée, depuis… Même si elle ne montrait rien, l’abandon de ses parents n’a pas dû être facile à vivre… je suppose que le chocolat servait à compenser leur absence…
Adam Heston, gérant du pub « The Pineapple », Londres (Angleterre)
Ah ! Ne me parlez pas de cette gosse ! C’est une catastrophe ambulante ! Non pas qu’elle ne soit pas gentille, elle serait même plutôt adorable… mais elle est clairement pas faite pour être serveuse… Malhabile comme y a pas, incapable de porter correctement un plateau, incapable de se souvenir des commandes des clients… et les rares fois où elle s’en souvenait, elle n’était pas foutue de donner les bonnes boissons aux bons clients… Vous vous rendez compte qu’elle a servi une liqueur a un gamin de huit ans et un jus de pomme à son père ?! Du coup, je l’ai gardée juste une semaine, et croyez-moi c’était déjà bien assez long ! Je lui ai dit ses quatre vérités en la virant… elle a même pas chialé ni cillé, rien ! J’avais jamais vu quelqu’un avec autant de sang-froid… Elle s’est contentée de m’écouter en me souriant, puis de me dire qu’elle comprenait, qu’elle était désolée et qu’elle espérait que je trouverais un meilleur remplaçant… Elle m’a scotché !
Bruce Chomsky, gérant du pub « Jimmy's Corner », New York (États-Unis)
Lorsqu’elle a postulé ici au poste de serveuse, Harriet semblait plus déterminée que jamais ; elle faisait sérieuse et bosseuse… et puis, elle avait le sens du contact, et elle présentait bien. Je n’ai donc pas hésité à l’embaucher… mal m’en a pris ! Au début, je l’ai trouvée gauche et tête en l’air… mais les clients en étaient malgré tout satisfaits car elle était fort aimable et les faisaient se sentir ici comme chez eux. Je me suis dit qu’avec le temps, elle s’améliorerait, que les automatismes viendraient… Mais pensez-vous ! C’est tout le contraire qui s’est produit ! Après quelques semaines, les habitués de l’établissement ont commencé à en avoir marre de se faire brûler chaque fois qu’elle leur servait un café bien chaud et de répéter encore et encore que non, l’expresso était pour Madame… Bref, elle m’a fait perdre mes habitués et me cassait tout le temps de la vaisselle… J’ai fini par craquer, et après un mois et demi j’ai mis un terme à la catastrophe. Elle s’est montrée compréhensive et m’a remercié pour tout… Devant un sourire désarmant et autant d’innocence, difficile de rester en colère… Toujours est-il que je suis bien content de m’en être débarrassée !
Gemma Weiss, Gouvernante au « Wellington Hotel », New York (États-Unis)
Harriet Smith ? Oh oui, je m’en souviens très bien. Elle a travaillé chez nous pendant quelques semaines. Elle avait postulé au poste de femme de chambre. Elle avait l’air sérieuse et pleine de bonne volonté, alors elle a été acceptée au sein de notre établissement… malheureusement, elle s’est très vite révélée inefficace… Elle était trop maladroite, ne faisait pas suffisamment attention aux petits détails, et Dieu sait qu’en hôtellerie tout est affaire de détails… Autant vous dire tout de suite qu’elle ne faisait pas l’affaire ; nous avons donc mis fin à son contrat de six mois au bout de cinq semaines d’embauche… et nous nous en félicitons !
Source anonyme, New York (États-Unis)
Oui, oui, je me souviens très bien d’elle. Quand elle m’a proposé ses services, elle avait tout juste 19 ans. Attendez voir… c’était en 2008. Elle avait besoin d’un emploi, et moi de main d’œuvre. Son problème à elle, c’était que personne ne voulait l’embaucher… et mon problème à moi, c’était que je n’avais pas les fonds nécessaires pour embaucher un nouveau salarié, bien que j’en avais cruellement besoin. Je lui ai donc proposé de bosser au noir pour moi, et en échange elle serait nourrie, mais pas logée… mais je lui donnerais trente dollars d’argent de poche par semaine, en plus d’une partie des pourboires. Elle a tout de suite accepté, m’expliquant qu’elle avait trouvé un logement chez une vieille dame qui avait besoin de compagnie ; elle n’avait pas de loyer à payer mais l’aidait à faire les repas les courses, et l’entretien de son logement.
Après avoir rapidement remarqué qu'elle était plutôt maladroite et tête en l’air, j'ai renoncé à l'affecter au service en salle ; je lui ai plutôt confié le nettoyage et la plonge... mais j’ai très vite arrêté de l’envoyer à la plonge ; elle cassait plus d’assiettes qu’elle n’en nettoyait. À la place, comme j’avais remarqué qu’elle avait un excellent sens du contact, je lui ai confié la mission d’accueillir les clients et de répondre au téléphone pour prendre ou annuler les réservations. J’ai par ailleurs rapidement constaté qu’elle était excellente en matière de gestion des conflits ; lorsqu’un client était mécontent, je faisais souvent appel à elle.
Elle a travaillé ici pendant quatre ans… jusqu’en 2012… après quoi elle a décidé d’arrêter car elle avait trouvé un emploi dans une autre branche, dans lequel elle était sûre de s’épanouir… mais je n’en sais pas plus… Je ne l’ai plus jamais revue, depuis lors… En tout cas, je n’avais jamais vu quelqu’un manger autant de chocolat…
Source anonyme, New York (États-Unis)
Étant moi-même espion et membre de la Ligue de la Race Humaine (LIRAH), j’ai rapidement remarqué que certaines de mes cibles mouraient dans des circonstances plus que douteuses après avoir été en contact avec une superbe blonde binoclarde. Ça a commencé en 2011. Une fois, on peut croire à une coïncidence ; deux fois, ça devient louche ; la troisième fois, c’est celle de trop.
J’ignore qui est cette fille, mais c’est une bénédiction pour la LIRAH… et quelle couverture ! Elle joue tellement bien le rôle de la blonde cruche maladroite, tête en l’air et parfaitement inoffensive ! Elle vous embobine quelqu’un en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. J’ai moi-même failli me faire avoir au début, mais en observant bien elle en fait presque trop… mais quand même ! Cette gamine reste une sacrée manipulatrice. »
Extrait des propos recueillis par l'équipe journalistique du quotidien Nouvelle République Populaire (NRP)
Paul
FORMULAIRE #458-ZERTI-548-LAMA-5

Prénom et nom : Paul Hochon
Date de naissance (âge) : 12 juin 2005, 11 ans
Lieu de naissance : Poil, dans la Nièvre, Région Bourgogne-Franche-Comté, France
Adresse mail : bogossedu58@bruxia.com
Fonction ou activités : Élève de première année
Où se trouve votre tatouage ?
Sur ma fesse gauche.
Avez-vous d'autres Shamans dans votre famille ?
Non.
Êtes-vous en contact avec votre famille ?
Dernière édition par Clowney le Dim 11 Avr 2021, 22:56, édité 69 fois