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 Age : 23Nombre de messages : 399Date d'inscription : 02/12/2012Crédit avatar : hrukapuka (sur DA) | Vos PersonnagesPersonnages:
Personnages | Perso 1 | Perso 2 | Perso 3 | Perso 4 | Perso 5 | Perso 6 | Perso 7 | Perso 8 | Prénom & âge | Aristée/La trentaine | Poulpe/Âge indéterminé | | | | | | | Nano. Monde | Zombieland | Alpha Perdu | | | | | | | Avatar |  |  | | | | | | | | | Sujet: J'aime pas le café. Rien d'autre à déclarer. Dim 2 Déc 2012 - 23:33 | Le Bagage a dit : | Rappel du premier message :
Fiche mise à jour le 03/05/2015
- Personnages disparus:
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Prénom : Trou de mémoire. Age : Je ne suis qu'une innocente enfant de 17 ans *sort un hachoir à viande*. Activités : Esclave du domaine scolaire... Lycéenne en somme ;) . Centres d'intérêts : Se coucher à pas d'heure pour RP, massacrer la population dans Fable II, dévorer les David Gemmel, dessiner des Turiens... Où j'ai trouvé le forum : Bouche à oreille. Un petit mot pour Nano. ? : Comment dire... ? Beau, accueillant, de qualité malgré le maximum de ligne insignifiant... Une vraie surprise, au bond moment. Le hasard fait bien les choses. Pas peur d'avoir un Vioc ? : Tu connais *paf le chien* ? Non, avoir un vioc ne me dérange pas. Mais absolument pas. ○ Prénom et Nom : Roose (se prononce "Rouse" comme un certain président) Khaterine ○ Age : 25 ans. ○ Nano Monde : ZombieLand ○ Race : Humaine ○ Métier: Psychiatre ○ Objet : Un hachoir à viande pour arme, un tailleur usé pour vêtement. Tous tous tous zombies, tooooooous... Elle tenaient à eux. Vraiment vraiment vraiment. A partager durant plusieurs années leurs tracas, leurs peurs, leurs craintes, leurs bonheurs... Toujours cette petite paroi entre eux bien sûr, toujours. Mais pourtant, à connaître ainsi leurs pensées, à discuter régulièrement sur les sujets qui leurs importent, sans jamais tourner autour du pot... Et puis, un jour ça ne va plus. Mauvaises nouvelles. Infection. Morts. Morts qui se relèvent... Et les patients qui ne viennent plus... Et les patients qui viennent pour la manger. Il faut la comprendre, la pauvre Khaterine. Elle a pris soin d'eux. Des années de thérapie ! Des années d'encouragements, de soutien, de dialogue... ! Et puis là, juste comme ça... Plus rien. Couic. Fini. Rien du tout. Plus que des boîtes crâniennes que l'on pulvérise à coup de classeurs. Il faut la connaître, la pauvre Khaterine. Elle voulait être psychiatre, aider son prochain... Alors qu'elle ne savait pas s'aider elle-même. Fragile, sensible... Un gros travail de relaxation, de contrôle de soi, et petit à petit, elle s'est forgé une personnalité. Celle d'une confidente, d'une oreille attentive, de la boîte à secret. Et puis plus rien. Plus de patients. Plus de caractère tenace. Juste les cervelles sur les murs, et ses feuilles tâchées de sang. Elle a fait une dépression nerveuse. Elle doit les aider. Elle doit les retrouver. Rayer un à un les noms de son petit carnet. Et leur famille aussi, qu'elle ne le fasse pas leur ferait sans doute de la peine. Qu'ils ne se relèvent plus. Jamais. La cervelle, ça tâche. Une chevelure châtain, des yeux gris clair, un visage doux de jeune fille. Ravissant. Charmant. Quelque fois, on doutait de ses capacités du fait de son apparence trop jeune, bien que son assurance démentait cela bien vite. Avant, elle se maquillait, discrètement, juste ce qu'il faut. Un tailleur sévère contrastait avec son sourire qu'elle offrait sans retenue, accompagné de collants, de talons hauts... Une tenue professionnelle. Mais voilà, c'était avant. Le tailleur est toujours là, bien qu'ayant souffert, quelques tâches sombres d'origine organique en attestent, mais le reste... Visage laissé à l'abandon, ses yeux ne sont plus que deux billes affolées qui qui ne parviennent plus à fixer un point plus de quelques instants. Cheveux ébouriffés, vêtements sales et usés... Une petite thérapie ? De la gentillesse, elle en a gardé. Elle aide dans les camps, ne reste pas inactive. Douce et gentille, serviable... Instable. Sortir ne la dérange pas, mais que sa route croise un zombie... Tout zombie doit être soigné. Pour ce faire, Khaterine a sa méthode : massacrer le crâne du "patient" avec toute arme à portée. Au revoir douceur féminine. Bonjour frénésie. Elle prête toujours une oreille attentive à ceux qui en ont besoin, mais n'oubliez pas : tout contaminé doit être soigné. Sur-le-champ. Petite fée sans cervelle ○ Prénom et Nom : Ysilymerassy Myhylalu ○ Age : Une ravissante adolescente de 3 ans. Remarque sur les fées forestières : deviennent adultes vite, mais vivent très longtemps (juste que ça meurent facilement, ces petites choses). ○ Nano Monde : La Guerre des Deux Créateurs ○ Race : Fée forestière, dont la taille ne dépasse pas celle du pouce d'un adolescent humain. ○ Métier & Classe : Guide. Un idiot paumé est un idiot bruyant. Escrimeuse. Elle rivalise avec les mantes religieuses les plus douées de toute la forêt ! ○ Objet : Les plumes de colibris. Elle les leur chipe tout le temps, et maintenant, elle en a plein les ailes et les cheveux. Ça leur apprendra à doubler à toute allure par la droite !  Oh, y a quelque chose là ? Les fées forestières sont de celles que les humains peuvent envoyer dans le décors d'une chiquenaude, et dont la petite voix suraiguë peut rendre sourd un nain... Quand elles arrivent à se frayer un chemin dans leur jungle capillaire, jusqu'à leurs oreilles. En général elles sont coincées dans les nœuds bien avant. Elles sont petites, toutes gentilles, adorent les fleurs, les oiseaux, la rosée du matin et voleter autour des licornes. Sans s'accrocher à la crinière de l'une d'elles bien sûr, vu que celles qui s'y risquent finissent souvent écrasées quand la sublime créature décide de se frotter le dos contre le sol. D'où un taux de mortalité infantile important chez les fées vivant à proximité. Heureusement pour Ysilymeryssa, elle ne fit pas partie de ces dernières. Non, elle préférait plutôt leur foncer dedans. Petite fée curieuse, Ysily a toujours eut un petit problème visuel. Rien qu'un strabisme chronique. Aussi, dès que ses yeux commençaient à loucher, dès son plus jeune âge (soit 5 jours) elle prit l'habitude de fermer les paupières. Et quand on vole vite avec les yeux fermés, on finit toujours par se prendre quelque chose. Arbre, licorne, autre fée (chute avec chorégraphie en duo à la clé), insecte (ce fut l'occasion pour son 112 ème jour d'un duel avec une abeille fâchée et son dard) ou dans le pire des cas des humanoïdes de grande taille. Il lui arriva donc de se faire attraper par l'un d'eux, et embarquer. Et de s'enfuir. Elle put ainsi faire l'expérience d'une casserole et d'une louche, une cuisinière l'ayant prise pour une mouche. Rien de bien méchant avant de rentrer chez elle. Juste un chat qui tenta ensuite de l'avaler, mais qui la recracha aussitôt. La poudre féérique ne devait pas être à son goût. Ysily était une petite fée turbulente, et ses parents la retinrent pas quand elle quitta enfin la fougère familiale, non sans un coup d'éclat lors de son départ. Un écureuil ronchon avait auparavant expulsé d'un trou d'arbre la petite famille ( les parents et leurs cinq moucherons), aussi Ysily voulut reprendre la demeure. Elle défia le mammifère en duel, lui asticota le derrière cinq bonnes secondes, avant qu'il ne croque sa brindille et ne l’envoi dans le décor atterrir quelques mètres en contrebas dans un tas de mousse, manquant de peu un hérisson en train de faire la sieste. Même si elle revint vaincue, l'attention de la fée fut néanmoins appréciée de la famille, qui lui offrit comme cadeau de départ une nouvelle brindille. Qu'elle se regarde dans une goutte d'eau... Une ravissante créature lilliputienne. Observez la avec une loupe, et vous pourrez apprécier la douceur de son visage, ses grands yeux aux reflets changeants, le brun sombre et soyeux de ses cheveux, la couleur porcelaine de sa peau... Coquette, elle porte de nombreuses plumes irisées dans ses cheveux, et quelques unes qu'elle est parvenue à faire tenir sur ses ailes. Celles-ci, délicates et pas tout à fait translucides, peuvent battre très rapidement (presque autant qu'un colibri, mais mieux vaut ne surtout pas faire cette comparaison à portée de ses oreilles). Elle porte en tout et pour tout une petite robe diaphane qui, à l'échelle humaine dévoilerait toutes ses courbes, mais qui à sa taille cache son corps gracieux de jeune fée. Nul besoin de vêtements supplémentaires, il fait toujours bon dans sa forêt. Lalalilala lalila Les yeux ouverts ou fermés, elle veut aller partout la Ysily ! Connaître la moindre feuille, le moindre nœud d'écorce de son arbre. Entre temps, elle se cognera trois ou quatre fois, mais peu importe elle a la tête dure. Même si elle a calculé que, si elle perdait de deux à quatre neurones (les fées ont connaissances des petits machins qui font bzit tout le temps dans leur tête) à chaque choc, depuis qu'elle savait voler elle en avait perdu 91266432... Mais elle a quand même des doutes quant à son calcul. En dehors de ses réflexions Ô combien intéressante (Un pétale de rose ou de tulipe ce midi ?), Ysily se montre toujours très accueillante quand quelqu'un croise, ou plutôt qu'elle croise le chemin de quelqu'un, avant d'assaillir la personne de questions diverses et variées, et souvent inutiles. Comme toute fée qui se respecte, elle se montre gentille aussi. Du moment qu'aucun compliment sur ses plumes n'est énoncé, car elle DÉTESTE les colibris ! Leurs plumes, elle les adore, et personne ne les lui piquera, aussi chut ! Elles sont ses trophées, récompenses de vols-poursuites de folie dans des labyrinthe de branches (ou elle a récolté bon nombre de bleus lors de ses premières tentatives). Gâcheuse d'ambiance en puissance ○ Prénom et Nom : Dans le "monde extérieur", Lucie Ambrose, mais dans l'école, Lucie Aventis. ○ Age : 16 ans. ○ Nano Monde : Rosen Vampire. ○ Race : Humaine pur sang. ○ Métier : (Fausse) élève. ○ Compagnon et objet : en salle de classe, un roman, et lors de ses "interventions", des couteaux en argent soigneusement dissimulés... Au cas où.  My dear Lucie Issue de l’aristocratie britannique, ni plus, ni moins. Élevée à la vieille école, Lucie a eu droit a une éducation de choix (culture générale, parfaitement bilingue, cours de bonne tenue & autres choses plaisantes) tout en profitant de... l'orientation de sa famille. Au service de sa Majesté. Bras armé de sa Majesté. Enfin, celui qui tient le couteau qui égorge l'ennemi de sa Majesté ou le pistolet (parce que tapette à mouche, c'est tout de suite moins classe) qui pulvérise le cafard qui a souillé les cuisines de sa Majesté. En somme, cette gentille demoiselle connait les armes et sait plutôt s'en servir. Avec grâce, dignité et tact, au service de sa Majesté bien sûr. En levant bien haut son petit doigt. Une enfance sans faute parmi la maison Ambrose. Jusqu'à l'adolescente. Là le pistolet s'est mis à viser la louche dans la main de la cuisinière plutôt que le cafard. Une fois cette passe atteinte, Lucie a envoyé valser son éducation et tout ce qui allait avec. Enfin... Tout ce à quoi tenait sa famille : comportement modéré et respect. Le reste, elle l'a gardé, profitant de tous les "autres" talents que l'on a développé chez elle. Infraction & vandalisme à la clé, sans jamais se faire prendre hors du domaine familiale, avant de siffloter gentiment ses méfaits une fois revenue. Demoiselle bien élevée un jour, garce insupportable le lendemain, avant de retrouver un tempérament innocent ensuite. Et d'alterner autant de fois qu'il lui plait, ses proches y perdant leur latin (& leur grecque en passant). Avant de bloquer en mode "garce". Un véritable électron libre à s'en faire s'arracher les cheveux Monsieur & madame Ambrose, dont les corrections, menaces et retenues n'eurent aucun effet sur la jeune fille, qui ne cessa de se jouer encore et encore des "chiens" qui la gardaient (ou plutôt, qui tentaient de la garder). Pour mieux faire goûter à ces derniers cette comparaison, une fois où elle s’éclipsait encore de sa chambre, elle revint leur apporter sur un plateau d'argent des os à ronger. Étrangement, ils n'eurent pas l'air d'apprécier l'idée. Se rendant compte que l'extrémité d'une chambre-prison, avec système de surveillance, détecteurs de mouvements et barreaux à la fenêtre (ou carrément plus de fenêtre, tiens) venait à les tenter, Maître & Maîtresse Ambrose recherchèrent dignement (Madame n'était absolument pas au bord de la crise de nerfs, non) une solution aux "fâcheuses habitudes" de leur "gracieuse" fille. Celle-ci leur fut transmise par un porteur, qui leur apporta un soir une lettre cachetée du sceau d'une branche particulièrement ancienne de la famille, les assassins vampires étant pas mal appréciés. Avec des membres dépassant les siècles d'existence, c'était la vieille école d'avant la vieille école d'aujourd'hui. Un contrat aux closes obscures fut signé, et Lucie envoyée aussi sec dans l'école des DuBuveure, sous le faux nom Aventis (qu'elle choisit, pour qu'elle puisse décider d'au moins une chose) histoire qu'elle soit confrontée à "plus fort qu'elle". Non pas que la branche "spéciale" de la famille refusait de la recevoir, mais il n'était pas dans les projets de Maître & Maîtresse Ambrose qu'elle devienne une vampire (ce qui pourrait tenter certains). L'idée était qu'elle ne puisse plus faire usage d'armes et autres "privilèges" liés à sa famille, et qu'elle descende enfin de ses grands chevaux. Pour cela, non content de la faire passer pour une simple lycéenne, lui fut attribué le rôle de... Surveillante. Que par sa seule présence, elle empêche tout jeune immortel de déraper : une petite dégustation, oui, un bain de sang, non. Et elle devait se débrouiller sans la moindre arme. Juste en faisant acte de présence. Quand elle protesta, on lui accorda des couteaux en argent. Au cas où ça déraperait quand même. Elle eut préféré le fusil à canon scié avec les balles en argent. Le portrait d'une Lady Autrefois d'un joli blond vénitien, ses cheveux sont devenu blancs, coupés courts en de nombres mèches pour la plupart, avec deux petites tresses survivantes. Comment cette couleur ? Eh bien elle s'est fait un shampoing à l'eau de javelle... Plaisanterie ! Allez savoir comment elle s'est débrouillée. Et idem pour les yeux... Enfin non, pas d'eau de javelle justement, elle a juste les yeux vairons : le gauche gris, le droit bleu. Un visage doux, à la peau clair, épargnée par les boutons, mais affichant la majorité du temps une expression froide, voire boudeuse. Autrefois habillée de vêtements chics mais sobres, lorsqu'elle demeurait encore en Angleterre, elle a adopté un style changeant, parfois simple, parfois aux orientations gothiques, en passant par la tenue de soubrette quand l'envie lui prend. Dans tous les cas, a tenue portée doit pouvoir dissimuler ses couteaux, au cas où on l'informerait soudain d'une "fête" où elle se devrait de fouiner et de déranger autant qu'il faut, mais avec cette petite sécurité. Pas si lady que ça Froide. Avec son humour propre. Rien à fiche des autres. Orgueilleuse. Vraiment égocentrique ? Pas la gentille demoiselle que Dame sa Mère pensait avoir élevé. Usant tantôt d'un langage poli et distingué, l'instant d'après vulgaire ou commun, avec ou sans un léger accent. Jouant des petits tours, si l'occasion de présente. Et malgré son sale caractère, rêveuse. A bouquiner des romans d'imaginaire en cours. Peut-être le seul sujet de discussion où il pourrait être agréable de converser avec elle.
Prénom : Il est imprononçaaaable ! *voix retouchée* Age : Pas loin de la vingtaine, et toujours aussi innocente et pure qu'une bulle de savon *garde cachée sa réserve de grenades collantes* Activités : Refaire cette préz' avec le générateur magique /PAF/ Bien bien, en étude de cinéma d'animation désormais (j'en suis qu'à la première année, me mangez pas !) Centres d'intérêts : Avoir des crises de RP aigus, attendre The Witcher 3 la bave aux lèvres (et autre jeu aux inspirations RPG), rire avec Les Annales du Disque Monde, regarder comme s'il s'agissait d'un piège à souris ma tablette graphique (ça finira par passer)... Où j'ai trouvé le forum : Bouche-à-oreille. Un petit mot pour Nano. ? : You did it 8D ! (enfin, le RP ou la fonda' ? /PAN/) Il est tout bow, il est tout chow, c'est Nanow \o/ Activité à Prévoir : Hmmm variable. Ca dépend surtout si j'oublie de zieuter dans le coin /PASTAPER/. Faut pas hésiter à me MP pour m'réveiller.
○ Prénom et Nom : Un professeur a choisi Aristée pour lui. ○ Age : Indéterminé. Supposé dans la trentaine. ○ Lieu de vie : Partout où les gens l'emmène, c'pas lui qui décidé (sauf s'il sent de la nourriture, là il passe en pilote automatique). ○ Occupation : Montagne de muscles à disposition, au camp comme dans la nature. Il part du principe que tout le monde est gentil et ne refuse pas de donner un (gros) coup de papate à qui l'demande.  |
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Géant baraqué, cela le décrit assez bien. Si au quotidien il semble pataud comme un morse, et fortement maladroit, toute sa masse acquière une agilité, et une grâce stupéfiante quand il est question de nourriture ou de zombies. - T’as des signes particuliers ? D'un point de vue physique, outre sa stature, une gueule taillée au burin et une pilosité crânienne sauvage... Rien m'dame. Le volume vocal secoue un peu, mais faut dire qu'on lui a diagnostiqué une légère surdité. C'est pas qu'il en veuille à qui que ce soit. - Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Passé le stade des loques d'un autre-temps, Aristée s'est vu doté - qu'ils sont gentils les militaires (ils avaient flairé le potentiel de la brute sans cervelle) - d'une combinaison complète en un espèce de cuir plutôt épais mais souple, qu'il porte à peu près à toute heure du jour et de la nuit, et tout le monde est content comme ça, parce que de lui-même il peut sinon se mettre en tenue d'Adam si il en a soudainement assez. Mais la notion de "pudeur" n'a disparu que pour lui, grand innocent qu'il est. - Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Une plaque militaire autour du coup où a été grossièrement marqué sur un côté "Aristée", et de l'autre "Je suis très gentil, sauf avec les zombies". Mais quel est le con qui lui a donné ça...
| - Tu parles norvégien, c'bon ? Et anglais ?Norvégien et anglais. Quant à savoir où et comment il a appris ces deux langues, il serait bien incapable de vous répondre.
- Si tu te faisais mordre, tu le dirais aux autres ? Une bonne crise de larme parce que le grand benêt s'est fait mordre, c'est discret ?
- Tu as 9 zombies face à toi et tu es tout seul. A droite, un ravin, à gauche, une vieille grange en ruine. Tu as une batte de baseball. Tu fais quoi ? Le premier zombie reçoit la batte dans le crâne. Le second vole sur plusieurs mètres avec le premier qui l'a percuté. Les deux suivants sont percutés par un train - dont le prénom commence par A - qui les envoie valser dans le décors. Et les cinq derniers... C'est au choix : écrasé, fracassé, piétiné, démembré - la joie de faire mumuse -, décapité, jeté dans le décors, baffé - vilain zombie ! - et autre joyeuseté dispensée par un gros bourrin qui a de l'énergie à revendre et une armure qui bloque les quenottes dont la morsure pourrait lui faire bobo.
- Tu dois choisir : tu sauves la mamie, l'enfant ou l'humanoïde super sexy qui te fait de l'œil ? Guidé par son instinct de justicier, le grand Aristée sauvera les cookies... ! Avec tous les survivants en équilibres sur ses épaules - ca s'coue davantage que l'dos d'un dromadaire là-haut -.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? A une promenade sans fin, avec différents copains. Ca se balade à droite et à gauche en souriant à tout l'monde, et ça s'fait tirer le bras vers l'extérieur sans rechigner. Le camp, c'est là où il doit se tenir un minimum - mais même ça il l'oublie quelque fois -, dehors c'est un grand terrain de jeu. Faut juste "casser" les morts qui viennent parfois embêter l'beau monde.
- C'est la fin du monde ou tu crois qu'un jour, tout redeviendra comme avant les zombies ?Le bonhomme vit au jour le jour, il ne se pose guère de question sur le passé ou l'avenir, à moins qu'un élément ne fasse remonter quelques souvenirs.
Avec la catastrophe, tout ce qui touche aux informations sur les habitants a été, à peu de choses près, perdu, égaré, détruit. Ou il y a juste trop de zombies dans la zone pour se permettre d'aller voir si les ordinateurs fonctionnent encore, ou si les archives n'ont pas été repeintes à coup de jets de sang. Ce qui est fort dommage, car sans cela, comment répondre à la question que certains se posèrent, en tentant de trouver refuge dans un asile abandonné : qui est (était ?) l'espèce de grosse brute errante qui y fut découverte, des lambeaux de vêtements et des plaies diverses sur le corps (dont la tête, bien sûr) ? Aucune morsure de zombie, cela dit. A vue d’œil, il s'était pris quelques meubles, une ou deux portes et un morceau de plafond.
Trop peu vêtu pour que son rôle dans l'établissement soit déterminé (patient ou surveillant ? Puisqu'il en a la carrure), le géant se révéla amnésique, très sensible (il était en train de chialer, debout, en plein milieu de ce qui fut le réfectoire) et particulièrement efficace dans l'élimination de zombies, une table semblant un hochet entre ses mains. Excellente allonge.
Parmi les survivants qui le trouvèrent, il y eut un professeur d'histoire pour le nommer "Aristée", puisque le gaillard n'avait aucun prénom à leur donner. L'individu fut l'un de ceux qui voulurent "le garder", l'embarquant à leur suite pour trouver un refuge dans le monde ravagé. En partie grâce à lui, ils parvinrent à atteindre un camp de réfugiés, d'où ils ne sont pas repartis. A une exception près. Depuis, Aristée sert d'arme vivante, avec une bonne armure de cuir (personne ne veut d'un zombie de deux mètre dix) comme protection et tout objet contondant pour arme. Soit il est trop bête pour se servir d'une arme, soit il n'aime pas l'odeur de la poudre. S'il est un grand mangeur, les excursions auxquelles il participe efficacement permettent de rapporter ce qu'il faut de nourriture pour compenser.
○ Prénom et Nom : Poulpe ○ Age : Indéterminé ○ Race : Poulpoïde, race considérée par l'univers comme une espèce "poisson rouge". Loin de là, et Poulpe compte bien faire changer cette mentalité. ○ Planète : Buu ○ Métier : Assistant mécanicien, saboteur, spécialiste dans l'infiltration... Tout cela en tant que pirate de l'espace sur le Neph Fou.  |
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Poulpe est un respectable poulpoïde d'une vingtaine de kilos et d'une hauteur de... De... Comment décrire par sa hauteur un organisme vivant qui n'a pas de squelette ? Sans combinaison, il s'agit d'une masse mouvante de muscle noirâtre sur terre ferme, acquérant une certaine grâce une fois dans un milieu aqueux, néanmoins. Entre deux replis de peau se laisse parfois apercevoir des mâchoires aux crocs effilés. Il semble voir sans avoir d'yeux visible, sentir sans nez, entendre sans oreilles... Du moins peut-on supposer des cordes vocales, quelque part derrière les mâchoires. - T’as des signes particuliers ? Avec sa combinaison, Pouple peut passer pour un humanoïde masculin. Il imite de son mieux les démarches des vrais marcheurs, ainsi que la "raideur" de leur corps. Néanmoins, sous l'effet de la surprise ou d'une chute où il perd le contrôle - il ne sait pas comment tomber involontairement, trébucher en somme, une chute non contrôlée le déstabilise complètement -, la combinaison peut paraître comme une peau vide s’affalant, les muscles de Poulpe s'étant complètement détendus. - Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Une combinaison spatiale moulante équipée d'un traducteur lui permettant de communiquer. La visière demeure endommagée, pour qu'il ait une entrée/sortie à disposition, en cas d'évacuation rapide. - Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Sans combinaison, le poulpoïde ne transporte rien.
| - Où te planques-tu ? (vaisseau, station orbitale, planète, etc.) Sur le Neph Fou.
- Tu joues au poker (si si) avec un poulpe violet, un Xzblorg, un tapis qui parle et un droïde à tête de canard. Qui est-ce que tu surveilles ? Il abandonnera aussitôt la table en entraînant avec lui le poulpe, afin d'aborder des sujets existentiels résultant de l'absence de reconnaissance de son espèce en tant qu'espèce intelligente - alors qu'il l'est, indubitablement -.
- Dans les cantinas, qu'est-ce qu'on dit de toi ? Étant donné la réputation des poulpoïdes affamés, tout le monde s'abstient de le déranger lorsqu'il se nourrit. Sinon, nourri, il parait d'une patience et d'un calme à tout épreuve. Son auto-éducation l'a mené à parler avec un vocabulaire plutôt soutenu - allez savoir pourquoi, étant donné son milieu de vie ... -. Observateur, il s'interroge sur tout, qu'il s'agisse d'objets et d'êtres vivants l'entourant : il ne manque donc jamais de questions en général. Volontiers effacé et serviable, il tente néanmoins "d'imiter" les autres êtres intelligents. Pour moins destabiliser ses interlocuteurs dit-il.
En réalité, cela donne l'effet inverse : il ne comprend pas le pourquoi des réactions, des émotions, donc il case une surprise, une colère, une tristesse, un éclat de rire absolument n'importe où dans la conversation, et souvent quand il ne faut pas. Mais il s'excuse bien vite quand la figure de son vis-à-vis indique une perplexité importante.
- Les lois, la politique, la Confédération du Commerce, l'écologie... t'en penses quoi de tout ça ? Il en a pris connaissance, et ne se sent pas concerné : seul le devenir de son espèce - et actuellement du Neph Fou et de son équipage - lui importe. Il avisera au fur et à mesure si ces notions et la CC viennent lui poser problème.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Interagir avec les autres membres d'équipage, engranger davantage de connaissances sur l'univers, donner un coup de main au mécano', se prélasser dans un aquarium récupéré spécialement pour lui - celui qui le "nourrit" comme un poisson rouge ne tient pas à son intégrité physique, c'est pas lourd mais c'est très fort ce machin - et entretenu par ses soins...
- Si tu trouves la planète Alpha, qu'est-ce que tu fais ? Une question qu'il serait intéressante de lui poser directement, parce qu'il ne lui viendrait pas à l'idée de mentir : coloniser cette planète si précieuse avec les siens, afin de faire pression sur la société qui les ignore pardi !
Cet individu a échappé de peu à une vie en aquarium. Au lieu de cela, ou d'une existence paisible dans l'immense océan recouvrant sa planète natale comme vive la majorité des représentants de son espèce, il fut détourné à des fins moins légales.
Les poulpoïdes de Buu n'ont pas eu l'occasion d'être reconnus comme êtres intelligents à part entière, faute de langage compréhensible par les autres espèces intelligentes... Mais aussi parce les curieux ont vite été réduis au silence par les sociétés faisant commerce de ces créatures. Ils s'est avérés qu'il pouvaient remplir trois fonctions :
▬ Poulpe de compagnie, aka poisson rouge. La seule occasion où d'honnêtes gens verront un poulpoïde, quand il baignera dans leur grand aquarium à la maison. Ou encore dans les clubs chics, où son petit environnement aqueux sera constamment frappé par des éclairs miniatures : une bébête insensible à des décharges électriques, cela à de la classe. Dans le noir c'est encore mieux. A tenir éloigné des enfants, les seuls individus qui eurent pu trouver "amusant" de donner un micro' à leur petit animal. ▬ Le principal intérêt pour des pirates : les poulpoïdes, une fois au milieu de circuits électriques, peuvent prendre le contrôle de n'importe quel réseau, ou simplement bousiller tout ce qui est à leur portée - ils se déplacent très bien dans les conduits -. Envoyer un colis avec de jolies fleurs à un capitaine de vaisseau. Il sera désappointé devant la boîte vide - son contenu s'étant glissé depuis longtemps dehors pour prendre ses aises -, mais beaucoup moins que quand il réalisera que son bâtiment est immobilisé du fait de dysfonctionnements multiples et irréparables d'ici que le vaisseau pirate approchant ne l'aborde. ▬ Leur frénésie : sous l'effet d'une grande faim, les poulpoïdes se révèlent extrêmement agressifs, usant alors de la puissance de leur muscle et du seul élément dur de leur "corps" - des mâchoires garnies de dents acérées - pour mettre à terre une proie, après quoi des fluides digestifs sont injectés et... Le repas est servi quelques minutes plus tard. Les vaisseaux recevant un tel colis sont en général délaissés pendant quelques jours, le temps que le poulpoïde soit redevenu calme et donc, à peu près inoffensif. ▬ La quatrième fonction n'a pas encore été découverte : n'étant que des muscles adaptables à n'importe quelle forme, à remplir ou à mouler, et dotés d'une grande sensibilité épidermique, les poulpoïdes feraient de fantastiques masseurs. Mais il n'est venu à l'idée de personne de laisser un poulpe, doté de crocs et capables de briser un os comme une brindille, s'étaler - pour son bien - sur son corps.
Ainsi donc, cet individu fut pêché, fourré dans un baril et vendu à un vaisseau pirate. Après quoi il remplit un certains temps la fonction n°2 évoquée ci-dessus, livrant bon nombre de vaisseaux à l'équipage auquel il "rendait service" malgré lui. Pendant toute cette période, ce poulpoïde a engrangé tranquillement une certaine quantité de connaissance... Apprenant tout d'abord de son mieux les langues des diverses espèces présentes - sans être capable de communiquer dans une autre langue que la sienne propre - sur le vaisseau, puis en tâchant de comprendre "Où", "Comment", "Pourquoi" et tant d'autres questions existentielles. Puis il attendit une occasion... De devenir autre chose qu'une petite surprise pour les cibles du vaisseau. Et de faire cesser les actions de certains membres à l'égard de sa personne, même si personne ne semblait prêter attention à ce fait.
Cette occasion se présenta quand son vaisseau entra en conflit avec un autre. Ni une ni deux, sortant de sa passivité habituelle, le poulpoïde sabota son "propre" vaisseau, l'ennemi en profitant aussitôt alors que l'équipage ne comprenait pas de suite d'où lui venait un tel revers. Dans la panique, un cerveau fit le lien, et menant un pauvre individu mâle à sa mort : il voulu vérifier le baril du poulpoïde, et eut la nuque brisée par des muscles ressemblant d'ordinaire à une méduse échouée noirâtre... Sauf quand ils se contractaient sur une prise solide. Ainsi, il mourut, dans le confort de sa combinaison qui ne lui avait fait gagné qu'une petite seconde. La créature en profita ensuite pour réaliser une ouverture dans le casque, s'y infiltrer et... Faire le nettoyage. A coup de sucs digestifs. En prenant un petit en-cas au passage.
Pendant que l'équipage "adverse" prenait le contrôle des lieux, le poulpoïde tâcha de s'habituer à sa "coquille", ce qui revient à un effort intensif pour une créature qui se contente de glisser par terre d'ordinaire ou d'évoluer à son aise dans un milieu aqueux. Les pirates vainqueurs eurent donc la surprise de voir une combinaison complètement désarticulée, pliée en deux - littéralement - avec un membre sur deux tourné dans le mauvais sens s'avancer d'une démarche très bancale vers eux. Puis...
Le miracle du traducteur eut lieu.
Le poulpoïde put faire savoir qu'il était conscient, et apte à la communication. Il intrigua suffisamment pour attirer le capitaine. Après une petite conversation où il signala sa vraie nature, les capacités qu'il mettait à disposition - en échange d'une reconnaissance de son individualité et d'un accès convenable à un réseau d'information, afin de se cultiver dans les plus brefs délais - et ce qu'il avait dors et déjà fait... Il fut engagé. Un nouveau "camarade" le nomma "Poulpe" en rigolant.
Poulpe accepta ce surnom - les poulpoïdes se reconnaissant à travers des sensations tactiles non convertissables en mots -. Depuis, il a "rempli" la combinaison, son corps ayant parfois tendance à développer un épiderme supplémentaire adapté à la forme - qu'il prend soin de détruire régulièrement en sortant de sa "coquille" pour garder une adaptabilité physique maximale -, et ses muscles s'étant musclés de la bonne manière pour le faire tenir debout, capable d'avancer presque d'une manière naturelle. Il n'a juste toujours pas compris comment on tombe sans ressembler à un tas de chiffons. Au sein de l'équipage du Neph Fou, il fait office d'assistant mécanicien par temps calme, puis d'abordeur/saboteur quand une proie apparaît à l'horizon.
Poulpe est intraitable sur un sujet : la libération de tout poulpoïde rencontré. Quand à la reconnaissance de son espèce en tant qu'espèce intelligente ayant des droits (dont celui de ne pas passer sa vie coincé dans une saleté d'aquarium sous le regard jubilatoire de quelques crétins ignorants), c'est le but qu'il s'est fixé. Bon, être un pirate n'est peut-être pas le meilleur point de départ...
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Dernière édition par Le Bagage le Mer 6 Mai 2015 - 2:29, édité 26 fois |
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Nombre de messages : 23719 Date d'inscription : 29/09/2008 | Vos PersonnagesPersonnages:
Personnages | Perso 1 | Perso 2 | Perso 3 | Perso 4 | Perso 5 | Perso 6 | Perso 7 | Perso 8 | Prénom & âge | Freya (26 ans) | | | | | | | | Nano. Monde | Alpha Perdu | | | | | | | | Avatar |  | | | | | | | | | | Sujet: Re: J'aime pas le café. Rien d'autre à déclarer. Ven 18 Avr 2014 - 10:47 | Nano. a dit : | OMG ! Cette créature est géniale et le perso excellent ! Je sais pas ce qui m'a fait le plus rire entre son côté "chute ratatinée" et "émotion mal placée" xD En tout cas c'est tout bon pour moi donc je valide *^* juste, j'espère qu'il a quand même des points faibles abordables parce qu'il m'a l'air un peu increvable la x) Comme je te disais hier si tu veux rejoindre notre rp avec siv et Ken je crois que tu as une ouverture la ^^
Bon RP camarade o/ |
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