Nano. RolePlay

Rappel du premier message :

CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : privé
- Tour de jeu : NA
- Délai maximum d'attente de réponse : 1J
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : 2
- Autre : Suite directe :--> ici <--

Élisabeth marcha dans les rues de Moscou jusqu'à un petit quartier tranquille. Elle ouvrit la porte de sa petite maison et rangea soigneusement son manteau dans l'entrée. Elle tendit la main pour prendre celui de l'homme.

Fédor entre dans cet appartement les yeux et les oreilles aux aguets il regarde tout sans cesse à la recherche de tous les éléments qui pourrait l'aider à comprendre la femme et aussi toutes formes de menaces. Il entre sur son territoire, c'est forcement dangereux.

Le serpent le serre assez fort pour le pas lâcher sa prise. Il peut sentir qu'elle pourrait lui casser une côte si elle y allait plus fort. Mais, elle se laissa glisser sur le sol pour partir vers l'une des portes entrouverte. Elle y entra avant d'en ressortir quelques minutes plus tard, habillée.

Elisabeth ne pu s'empêcher un bâillement qu'elle cache de sa main. Cette forme dans un pays aussi froid n'était pas la plus adaptée.

- Désolée, je n'ai pas la forme la plus adaptée au monde pour la Russie. A vous ! Enfin, si vous le pouvez ?

"C'est n'est pas du tout adapté comme lieu et comme situation." dit doucement Fédor avec sincérité. "Il n'essaie pas de se dérober en tout cas il n'en montre rien. Ou c'est un grand menteur et manipulateur. Ce qui serait étonnant au vu de ses autres qualités. "Je vais me retrouver nu devant vous... mais plus de vêtement à me mettre." Il sourit doucement

- Vous n'avez qu'a poser vos vêtements avant.

Elisabeth le regardait mutine avant de rigoler et de se servir un petit verre de whisky.

- J'ai bien supporté le corbeau pendant un mois, je peux bien supporter votre vue deux minutes ?

"Je ne suis pas le Corbeau." dit-il doucement "Et j'ai quelques difficultés à l'idée de me retrouver nue devant vous. Je suis un homme simple." qu'il tente d'expliquer vaguement sentant qu'il s'enlise un peu. IL se reprend donc dans son fort intérieur. "Je ne sais pas qu'elle genre de relation vous aviez avec le Corbeau d'ailleurs."

- Le corbeau était tout simplement mon maître d'arme. Il est juste un peu moins pudique que la normal... C'est très gênant...

Elisabeth sourit et lui mit un verre de whisky dans les mains avant de boire un peu.

- Nous allons nous revoir ?

"Je suis pudique... sauf quand d'autres activités sont prévues au programme." dit-il avec un petit sourire simple, franc et direct. "Vous voulez me revoir ?"

- Je n'ai pas beaucoup de compagnie donc de vous revoir me ferais peut être un peu de bien.

Elisabeth sourit et regarda l'homme dans les yeux, ceux ci étant peut être un peu plus chaleureux.

Il réfléchit un peu... beaucoup en fait. "Je ne sais pas si c'est une bonne idée. Surtout si vous êtes en relation avec le Doc." dit-il avec franchise. "Deux hommes de notre trempe passant du temps avec une femme aussi séduisante...." il ne continue pas... inutile elle est intelligente et saisit l'idée. "Non ?"

- Si vous venez simplement boire un café, je ne vois pas le problème. Et aux dires de Lyov, je ne vais pas le revoir de si tôt, si je le revoie un jour. Vous pourriez vous renseigner si il reviendra ?

Elisabeth soupira et se frotta les yeux. Si Lyov ne revenait pas, elle aurait perdu sa seule compagnie et sa seule part d'humanité auprès de ses confères.

Le nez d'Elisabeth se fronça et elle se frotta les cheveux gênée.

- Même si c'est juste une tasse de temps en temps ? C'est vrai qu'il risque de se braquer et si il est jaloux du corbeau, rassurez le, il ne s'est rien passé entre nous. Il devrait pourtant savoir que ce n'est pas mon genre d'homme.

"Qui vous dit que je n'ai envie que d'une tasse de café ?" sourit tranquillement Fédor.

- Je ne sais pas, à vous de me le dire.

Elisabeth finit son verre de whisky avant de croiser les bras.

"Ça vous intéresse de savoir ?" qu'il dit étonné. Décidément il n'est toujours pas doué pour comprendre les femmes. Séduire parfois... oui... parce qu'il n'est pas moche, grand et musclé. Ce coté protecteur est apprécié des femmes. Mais les comprendre... ça non.

- La compagnie que j'ai en dehors de mon travail est limitée. Parler avec quelqu'un ne me ferais pas de mal je pense.

Elisabeth sourit et se frotta les cheveux. Il se faisait tard et la fatigue commençait à se faire ressentir.

Il comprend maintenant. Toute cette tension qui s'accumule et cette nécessité de paraître ce qu'elle n'est pas en permanence. "Je comprends.... je vais faire un effort alors." dit-il simplement en espérant ne pas se faire manipuler. Ca lui arrive souvent malheureusement mais il ne va pas sombrer dans la paranoïa non plus. Il vit pour la cause et peut s'autoriser des écarts. Tant que c'est raisonnable.

- Merci beaucoup. Si vous voulez coucher la ce soir, vous pouvez. Le couvre feu à déjà sonné depuis longtemps et je m'en voudrait de vous apporter des ennuis.

Elisabeth s'assit dans un fauteuil, se détendant un petit peu.

Il réfléchit quelques secondes. "Bien.... vous devriez aller vous coucher.. vous êtes entrain de tomber." dit le grand homme. "Vous avez un grand lit accueillant qui vous attend."

- Prenez le, je dormirais dans le salon. Je ne peux pas laisser un invité ici.

Elisabeth sourit et poussa la porte de sa chambre pour pouvoir laisser entrer l'homme. Elle prit une couverture et un coussin ainsi que son crucifix pour les poser dans le salon.

"Sérieusement ? vous me voyez dormir dans un lit pendant que vous êtes ici." il sourit amusé et d'un geste rapide, fulgurant il l'attrape pour la soulever. Impossible de voir venir, elle est fatiguée, il est un expert au point qu'elle ne sait même pas comment il s'y ait pris. Juste que ce n'est pas douloureux. "Je vais prendre le fauteuil." dit-il tranquillement en l'emmenant dans sa chambre pour la déposer délicatement sur le lit

- Je ne suis toujours pas d'accord.

Elisabeth se sentit soulevée et se laissa faire, plantant son regard froid dans celui de l'homme.

- Vous prenez la droite du lit et moi la gauche. Je pense que nous sommes assez adulte pour nous en tenir à cela.

"Je ne suis absolument pas adulte." dit-il avec un sourire. "Pas dans ce genre de situation... avec une femme moins avenante je dis pas. Il se redresse doucement et la regarde en se demandant si elle a déjà rencontrer des hommes d'accord pour dormir a coté d'elle... sans penser à plus... sans doute le Corbeau.

- Je ne peux toujours pas vous laissez dans le salon... Ce ne sera pas très confortable pour vous.

Elle s'assit sur son lit et croisa les bras à la recherche d'une solution. Puis une idée vint se loger dans sa tête.

- Vous dormez là et je me transforme en serpent comme ça tout le monde est content.