Nano. RolePlay

Serah Hodge

Zombieland

○ Prénom et Nom : Serah Hodge
○ Age : 25
○ Lieu de vie : Avant la zombification de l'humanité, il vivait à Manchester. Puis avait voyagé comme un peu tout le monde à la recherche de ressources avec sa bande de potes ; il passa sa dernière année dans un trou paumé de l'Ecosse à développer une paire (ça ne veut rien dire en fr ouioui) pour enfin se décider à traverser la mer du Nord. Il a donc récemment posé pied ferme quoique encore un peu tremblotant - il n'a pas trop le pied marin - dans la Norvège ; sa destination actuelle est ce fameux camp dont il a entendu parler.
○ Occupation : //

Cherche coiffeur (mort ou vif)

- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Dans les 1m84 de conneries et d'eau salée.  
 
  - T’as des signes particuliers ?  Il a une grande cicatrice au niveau du poignet qui remonte en diagonale contre l'avant bras. Elle est visiblement cicatrisée depuis longtemps, vieille bagarre d'adolescents. Sinon il porte un grand collier de surfer fait main qu'on lui a offert une fois, amitié enfumée, trop belle pour durer, très rare à trouver surtout pour les connards échoués comme lui : "On se reverra hein, ne m'oublie pas"; "Arrête, tu sais que c'est impossible" "que tu m'oublies ou qu'on se revoit ?" "les deux."
 
  - Décris-nous un peu ton style vestimentaire :  On s'habille avec ce qu'on trouve. De préférence des habilles qui ne puent pas trop, mais hey, c'est un luxe qu'on ne peut pas toujours se permettre de nos jours.
Il a toujours sur le dos son blouson en daim favoris, marron cacao, un peu verdâtre, virant au jaune à certaines zones à cause d'une maladroite utilisation de l'eau de javel. Il avait dû le raccommoder un peu avec d'autres bouts tissus au niveau des coudes et manches. "Putain, si tu m'avais dit il y'a quelques années que la mode hipster serait la mode zombie de plus tard... ben je t'aurai absolument cru."

- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Ah... il est con, Serah, mais s'il a survécu jusqu'à maintenant c'est pas seulement grâce à lady luck. Il porte toujours avec lui un sac à dos pas très encombrant, dedans : une gourde d'eau toujours remplie dès que possible, un thermosta avec du café dès qu'il en trouve aussi. Une radio, parfois un magazine ou un livre, (il les jettes lorsqu'il fini de les lire et qu'il trouve de nouveaux). Un chargeur prise multi-usb. Des écouteurs dont seulement une oreillette marche, un mp3, des piles usagées et mordues. Des biscuits fades depuis un moment - (quand il part loin là bien sûr il aura besoin de plus de bouffe et de flotte). Et un paquet de cartes. Il a aussi un petit kit de survie improvisé, des bandages propres mais entachés, un ou deux vêtements.
A sa portée, c'est à dire coincé dans son blouson ou dans ses poches, il a : un couteau américain de 15 cm, un mini cutter malléable dont la lame est de 1,5cm. Des pinces, des élastiques, un briquet vide dont il attend de trouver l'occasion pour le remplir. Des cigarettes s'il a la chance d'en trouver, mais il est le genre à les consommer tous d'un coup par peur de regretter de ne l'avoir fait si jamais il crevait le lendemain (il applique la même politique-poltron pour les munitions d'armes à feu, il possède donc un pistolet vide calé à portée).

Interview avec un zombie intello

- Tu parles norvégien, c'bon ? Et anglais ? L'anglais sera suffisant, t'crois ? J'viens juste de débarquer aussi, mais j'ai appris quand-même quelques mots au cours de ma super croisière ; les plus basiques... comme... mat, vann, død, infeksjon, skade, elske, kyss.... kvinne, mann, sigarett,... merde, c'est quoi déjà le mot pour briquet ? Non je les ai pas cité dans l'ordre de priorité, arrête de chipoter, fitte. (ouais, j'ai retenu les insultes aussi)

- Si tu te faisais mordre, tu le dirais aux autres ? Tu le sauras le jour où je me ferai mordre... ou pas.
Il ne le dira pas mais serait trop bouleversé pour savoir le cacher, et n'importe qui sentirait que quelque chose est off chez lui.

- Tu as 9 zombies face à toi et tu es tout seul. A droite, un ravin, à gauche, une vieille grange en ruine. Tu as une batte de baseball. Tu fais quoi ? Le ravin putain, t'imagines s'il y avait plus de zombies dans la ruine ?!
Aussi il lancera sans doute inutilement sa batte de Baseball dans la foule de zombies. Il aime ses fans, que voulez vous.

- Tu dois choisir : tu sauves la mamie, l'enfant ou l'humain super sexy qui te fait de l'œil ? Je déteste ce genre de quizz merde. J'sais pas écoute, je suis nul pour prédire mes propres actions. Logiquement, c'est l'enfant qu'on sauve hein ? Ouais c'est ce que tu te dis jusqu'à être plongé dans un bain de sang et d'adrénaline. Dans ce genre de moments c'pas ton cœur ou ta tête qui choisie pour toi, c'est tes tripes. Alors je finirai peut-être par sauver la grand mère car elle me rappellera la mienne, elle faisait les putains de meilleurs cookies que j'ai goûté de ma vie et.. I'M NOT CRYING YOU IDIOT.

- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? arrête, je veux pas me rappeler les beaux jours de normalité. C'est déprimant, mec...meuf.

- C'est la fin du monde ou tu crois qu'un jour, tout redeviendra comme avant les zombies ? Sûrement qu'un jour ça reviendra comme avant... les dinosaures, ouais.

Histoire (courte)

Story time eh ? Je préfère ne pas remonter trop loin à l'époque ou j'étais une déception pour ma mère, encore moins quand notre planète terre s'était réveillée un jour avec une gueule de bois à s'en flinguer la cervelle. Mom s'était transformée en abomination, t'as pas besoin de connaître les détails, ni moi de m'en rappeler. Si je l'ai achevée ? Non, car j'avais pas les couilles, elle sera à jamais déçu de moi, à flâner dans les ruelles de Manchester. Or maybe some smartass did her already. Enfin, pas besoin de s'étaler hein ? Je vais vous raconter quand moi, Steve et Buss avons décidé de sortir de nos trous de l'écosse pour partir à l'aventure, ahaha....
Ah putain je suis tellement con, j'arrive à rire d'un truc aussi triste à mourir.

"Ecoute ma gueule" je venais de passer mon bras autour de l'épaule de Steve, lui montrant l'horizon comme si c'était notre prochaine maison,
c'était notre tombeau.
"Maintenant qu'on a de quoi payer le vieux pisseur, on va pouvoir traverser la mer pour rejoindre la civilisation ! C'pas le putain de moment de revenir sur notre décision, c'est en fait le pire moment. Hein Buss ?"
Buss : "Très mauvais moment ouais."

Je lui donne une tape qui se veut réconfortante, à Steve, ma main se claque contre un dos tellement crispé que ma bonne humeur se fracasse contre. Mais j'fais semblant que tout va bien, si j'leur montre que j'ai la frousse aussi de savoir qu'on a une chance sur deux de crever en plein chemin, on va encore recommencer à tourner en rond, à rôder comme des chiens pour se jeter sur la gueule de nouveau.

"Steve, tu veux vraiment qu'on passe le reste de nos jours ici aussi misérablement ? T'es pas d'accord, Buss ?"
Buss :"Très d'accord."
Steve : "... on en a déjà parlé, ouais ?"
"Ouais, trop de fois"
Steve : "Alors on va pas répéter et énumérer toutes les bonnes raisons pour rester ici au lieu de croire un vieux sénile qui va peut-être nous flinguer dès qu'on a le dos tourné. Si ça se trouve ce n'est qu'un piège ce camp. Une sorte d’holocauste pour les derniers survivants, t'as pas assez joué de jeux vidéos dans ta vie ou merde ? Buss, t'es pas d'accord avec moi ?"
Buss : "Tout à fait......"
"Buss, t'as pété ton dernier fusible ?"
Buss : "Non."
J'ai échangé un regard avec Steve.
"Mec, tu m'inquiètes, on dirait un zombie là"

Ah si je savais. Je l'avais dit pour rire bien sûr, car Buss pour moi était clairement pétrifié de peur qu'il devait avoir la chiasse. Il avait bel et bien peur, mais pas pour les mêmes raisons. Well, j'étais pas mieux. Mes mains tremblaient, mes oreilles bourdonnaient, tout était arrivé trop lentement, en fait.
C'est lent un zombie... c'est lent aussi, la motivation de flinguer son ancien meilleur pote.

Ce qui s'est passé, après, c'est qu'on avait dû abandonner le bon vieux Buss. Encore une fois, j'avais pas eu le courage pour l'achever. Steve l'avait fait.
Il était bon, Buss. Trop bon pour que je le shoot, même s'il est mort.

Steve avait dû suivre mon plan foireux. On avait pas arrêté de s'engueuler les jours précédents, car il menaçait de me lâcher, me disait d'y aller sans eux, m'accusait d'arrêter de les traîner dans des conneries jusqu'au cou. Et moi de lui en vouloir et de m'en vouloir aussi car, tu sais, Steve aussi était bon. Enfin, il était sûrement pas bon quand il avait poignardé ce vieux mec qui avait voulu voler notre bouffe, ni quand on était allé faire des barrages pour réquisitionner de bons trucs. Ouais, j'étais aussi "bon" que lui. Nan, je crois qu'il était mieux que moi. Il faisait presque tout le sale boulot. Et moi parfois j'apparaissais au bon moment. Mais il ne disait rien tu sais, il le faisait pour nous. Moi au fond, je l'avais toujours fait que pour moi.

Ouais... c'est compliqué. Bref, c'est la mer qui m'avait volé Steve. Orage, tempête, hurlements, mains mouillés, mains glissantes, mais qui se décrochent. J'ai dû le lâcher, sinon je tombais aussi. J'avais trop peur de tomber et de me noyer, bien plus peur de ça que la peur de le perdre.
Je l'ai regretté plus tard, comme la plupart des choses, je m'en rends compte de leur importance que trop tard.

Si je le sauvais si j'avais une autre chance ? Probablement pas, je me connais
un peu.

Le point positif c'est que le vieux était pas mort ; heureusement, car j'sais pas du tout naviguer un bateau, bordel.
Je passe pour un sérieux de psychopathe avec mon changement soudain de sujet ?
Ça tombe bien, je comptais sauter vers un autre sujet. Je suis en Norvège maintenant, seul, mouillé, perdu. J'ai pas du tout l'impression que je réussirai à survivre seul, j'ai passé trop de temps en groupe.

.... j'espère que ce n'est pas un holocauste.

Aleko Viktohugovich - archivée:

Barry Wyles - archivé:

[...] je suis victime de ma sublime. Ma beauté est probablement criminelle. balaie ses cheveux au ralenti et tend les deux poignets dramatiquement.

(AUSSI COURTE QUE POSSIBLE keur crai )

C) Alors pour ça, j'ai imaginé que Spencer (qui était humain hein) a pu faire du business avec Magneto dans le passé - notamment en faisant de... du trafique de mutants en quelque sorte ? (disons que ces mutants étaient supposés se faire incarcérer, mais ont réussi à légalement se faire hospitaliser à la place, et l'hôpital de Spencer facilitait donc la libération ou fuite-programmé de ces personnes que Magneto cherchait ?). Je ne sais pas si c'est possible que Magneto fasse du business avec des humains cependant (+ un humain qui fait des traitements expérimentales sur des mutants!), vous me direz !

Sip a écrit:MAIS en fait... je viens de voir qu'en fait tu n'as pas encore assez de messages RP pour un 5ème personnage ? Je vais pas pouvoir valider ton perso avant que t'aies atteint les 600 messages RP keur

Alignement : Bon, avec penchant neutre.
Classe : Artiste (en herbe)-Mage (handicapée)
Métier : Barde (?)

sans provoquer un éboulement jenga

Alyaa a écrit:à chaque fois que sa magie (qui n'est donc pas réellement la sienne)

Alyaa a écrit:
se déclenche (et provoque des catastrophes grandes ou petites autour d'elle), c'est quand un verrou pète ou quand le vase est trop plein, right?

Alyaa a écrit: Et donc tant qu'il y a des mages ou créatures magiques qui se servent au buffet, on évite les cata (et sa propre mort).

Ca réduit le risque ouip